SERIES
Cette
rubrique présente des photos qu'il me semble intéressant de
décliner par petites séries.C'est l'occasion de voir
comment elles s' enrichissent et se complètent. Un peu
comme des motifs, chaque photographies apporte sa touche et
en même temps enrichit celle qui précède et celle qui suit.
Chaque série constitue une entité.
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Photographies prises dans une usine désaffectée. Les
carreaux de verre ont été la cible de quelques personnes
faisant preuve d'une adresse destructrice et peut-être
créatrice " à l'insu de leur plein gré".
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Série constituée par des bombes de peinture lâchement
abandonnées après avoir contribuer a mettre de la couleurs
sur nos murs tristes. Il n'y a plus de morale, qu'en est-il
de la relation charnelle entre l'artisan ou l'artiste et
son outil. Tout fout le camp...
http://www.gouy-lhopital.com/gombart/page71/page73/page73.html
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Tout le long de la route, des arbres murés dans l'ennui,
s'enfoncent dans la nuit de l'hiver. Quelques feuilles
résistent comme des oripeaux désemparés d'une splendeur
passée.
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Lorsque l'on visite une exposition,parmi les plaisirs il y
en a un que l'on oublie toujours. On part souvent avec des
idées assez claires de ce que l'on va voir pour un tas de
raisons, des informations que l'on a consultées, celles que
l'on a entendues dans les médias, nos propres souvenirs
etc...Dans le cas de l'exposition Picasso c'est encore plus
délicat de ne pas arriver avec pleins d'images en tête. Et
puis par chance, le petit miracle se produit. Il s'agit du
tableau "Fernande à la mantille noire", parmi tout les
chefs d'oeuvres c'est le moins attendu et pourtant c'est
lui le coup de coeur, celui que je suis revenu voir
plusieurs fois.
http://www.gouy-lhopital.com/gombart/page71/page103/page103.html
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Série réalisée tout à fait par hasard lors d'un moment
d'attente. Plus tard lorsque revient sur les photos, alors
des références apparaissent. Elles peuvent être écrasantes
comme ici,si l'on se souvient des films magnifiques de
Kurosawa "Ran" et "Kagemusha" où les kakemonos rouge sang
claquent sur les champs de bataille. Et pour l'épure et les
nuances de noir Soulages semble incontournable. Bref il
vaut mieux photographier au feeling car sinon la pression
du doigt sur le déclencheur peut s'avérer difficile!
http://www.gouy-lhopital.com/gombart/page71/page104/page104.html
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Voici quelques photos réalisées dans une entreprise
textile. Elles étaient destinées à un beau projet qu'i n'a
pu aboutir...Dommage.
http://www.gouy-lhopital.com/gombart/page71/page105/page105.html
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Rencontres
dans l’ombre et la lumière.Rien de psychologique,
juste deux présences, l’une sur scène, l’autre
non, la première sous les projecteurs, la seconde en
lumière d’ambiance. Juste deux visages qui
s’imposent dans la foule des spectacles du Nombril du
monde à Pougne-Hérisson. Deux empreintes fortes, des
expressions remplies d’émotions.
http://www.gouy-lhopital.com/gombart/page71/page106/page106.html
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L’action se
passe sur
une réderie par une journée pluvieuse. Après qu’il
eut trouvé sur un stand un jeu de cartes fripon des années
60, le petit Poucet un peu cochon, enveloppé dans un grand
imperméable, le mis dans sa besace pour le contempler
tranquillement plus tard. Le vice étant mal récompensé, les
cartes,comme les petits cailloux du conte,
s’échappèrent une à une par un trou dans le fond du
sac.. La dernière carte retrouvée ne donna aucune
indication sur la suite de cette « walk on the wild
side » …On ne sut jamais s’il se rendit
compte de la disparition de ces images et qu’il
n’osa pas faire marche arrière pour les récupérer ou
s’il eut la mauvaise surprise en arrivant chez lui,
en poussant un immense Damned ! de
désespoir.
Cette série reproduit quelques- uns de ces cailloux.
http://www.gouy-lhopital.com/gombart/page71/page111/page111.html
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Cette
série repose sur la déclinaison d’un geste devenu
banal dans notre quotidien. Les photos ont été réalisées
sur une durée d’une heure et une minute, entre 16h 27
et 17h28 dans une rue piétonne. Cet échantillon, on
pourrait presque parler de carottage, permet de faire un
lien avec le même geste lui très ancien que vous
découvrirez à la fin de la série…
http://www.gouy-lhopital.com/gombart/page71/page120/page120.html
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En marge de la cité, des jardins ouvriers à l'abandon,la
végétation sauvage reprend ses droits et des sauvages par
bêtise vandalisent ces cabanes...on n'y entend plus pousser
les carottes,il ne restent de ce passé glorieux que le
chant des oiseaux et le souffle du vent....
http://www.gouy-lhopital.com/gombart/page71/page140/page140.html
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Expédition au Salon de l'Agriculture, il faut beaucoup
d'imagination pour essayer de retrouver "le bon vieux temps
des vrais paysans"...Un peu triste.Sauf qu'il reste un
endroit magique,la ferme avec les vaches, toutes belles
avec des robes magnifiques.
http://www.gouy-lhopital.com/gombart/page71/page149/page149.html
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Ils sont
tous là échoués, groggy, sonnés, abandonnés après avoir
tinté dans toutes les tonalités, irradié avec toutes les
couleurs, testé tous les alcools…
Seuls, ils sont échoués sur le flanc, sous des tissus
improbables ou des journaux jaunis, loin des nappes
chamarrées d’antan. On dirait des poissons qui ont
sauté de l’aquarium en perdant instantanément toute
brillance, tout reflet.
Ils sont là, immobiles à se remémorer les anciens souvenirs
du temps où ils étaient au cœur des échanges
amoureux, des orages des repas de famille ou du brouhaha
foutraque des soirées étudiantes. Combien de personnes se
sont raccroché a eux comme à des bouées de sauvetage,
témoin muets de leur naufrage amoureux , de leur angoisse,
mais aussi de leur plaisir, de leur désir, de leur
bonheur…
Ils regardent passer les « redeux » le cou en
avant, la tête basse et rêvent de crier à la vôtre !
http://www.gouy-lhopital.com/gombart/page71/page157/page157.html
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En
bordure d’une départementale, dans le Perche, prés
d’une ferme à l’abandon, se trouve un étrange
cimetière. Ici point de feux follets, de fantômes, non
juste des machines agricoles hors d’âge qui agonisent
lentement sous les coups de boutoir de la pluie, du vent de
la neige… et parfois des gamins en quête de proies
faciles pour se défouler…Les vitres éclatent, la
peinture s ‘écaille, la rouille unifie les
couleurs, l’ensemble se minéralise…
http://www.gouy-lhopital.com/gombart/page71/page162/page162.html
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Cette série est le résultat de plusieurs divagations sur
les petites routes de la Somme. L’exode rural
conjugué avec la pauvreté d’une partie de nos
campagnes offrent des décors usagés, témoins désabusés
d’une vie rurale qui fut riche et vivante. Dans un
silence assourdissant ces maisons s’enfoncent dans le
néant...Eugène Ionesco, avec un trait d’humour très
noir nous offre un bref sourire dans ce naufrage social et
patrimonial.
http://www.gouy-lhopital.com/gombart/page71/page171/page171.html
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HOMMAGE A KRAFTWERK
Fin de journée en été, la chaleur est étouffante, le
goudron encore à vif reste visqueux. Les ouvriers viennent
de quitter le chantier, les habits souillés et humides
collés sur la peau. Les moteurs ont cessés de tourner mais
ils ne refroidissent pas, à l’intérieur l’huile
est brûlante. Tout redevient calme, plus de voix, plus
d’interpellations, plus d’engins plus de sirène
stridente pour signaler une marche arrière. La route est
coupée. Au milieu, des balises rouge et blanche maculées de
goudron dessinent une frontière imaginaire. Le soleil
couchant envoie sa lumière rougeoyante en contrejour et
amplifie l’effet de chaleur. Le contraste violent
entre les couleurs saturées des balises et l’aspect
brut et sombre des sols, emporte l’imaginaire vers
les rivages fantasmés des terres tropicales. Ou bien au
cœur des ghettos noirs des mégalopoles américaines
avec l’ambiance chaude dans tous les sens du terme,
des clubs de Funk, qui toute la nuit électrisaient les
corps en sueur. Ces derniers doivent bouger sans cesse sur
les rythmes excitants d’Afrika Bambaataa, mélanges
diaboliques de rap et de samples de Kraftwerk, sous peine
de retomber dans la dure réalité. Ce n’est
certainement pas un hasard si le club symbolique
s’appellait le « Paradisio »
http://www.gouy-lhopital.com/gombart/page71/page184/page184.html
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Surprenantes,
étonnantes toutes ces femmes étirées, en longueur, le corps
longiligne tout en tension, qui repose sur leurs socles.
Elles évoquent ces femmes « garçonne » de la fin
des années vingt, qui assument pleinement leur vie libre de
toutes contraintes et de tout tabous. La pratique du sport
est un moyen d’affirmer la liberté des corps.
Quelques unes, plus rondes, plus lascives
s’abandonnent… on est dans le rayon luxe,
calme et voluptés. Je me souviens qu’enfant dans mon
village il n’étais pas rare de voir des statues de
plâtre qui prenaient la poussière sur des buffets sans
éclats. Mais il faut bien avouer que loin des amazones
sportives ou des femmes alanguies, ces statues
représentaient bien souvent des bergers allemands ou
autres bestioles ! Difficile dés lors de s’intéresser
à la sculpture.
http://www.gouy-lhopital.com/gombart/page71/page201/page201.html
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Oubliés
dans un coin du jardin, ces fleurs s’enfoncent
doucement dans la nuit de l’hiver. Pour cela elles
ont déjà perdu leurs pétales depuis longtemps et leurs
couleurs s’étiolent lentement au gré des
intempéries… l’occasion de rendre un hommage à
Karl Blossfeldt et de partager avec lui que la nature est
belle, il suffit de la regarder !
http://www.gouy-lhopital.com/gombart/page71/page207/page207.html
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Dans un petit village de l'Oise, d'étranges images
explosent l'écran Tv noir et blanc. Un souffle violent de
vie brise l'univers aseptisé de la censure gaulliste...
http://www.gouy-lhopital.com/gombart/page71/page210/page210.html
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Oubliées
depuis de nombreuses années dans un sac plastique décrépi,
au fond du garage , par hasard, elles reviennent à la
lumière. Rien de particulier, elles n’ont aucune
valeur ni marchande ni affective. Le plus simple
c’est de renverser le sac sur la table pour voir
apparaître en vrac toutes ces petites voitures. Pour le
moins c’est très hétéroclite, visiblement ce choix de
modèle ne correspond à aucune volonté particulière. Elles
sont dans tous les sens, sur le dos, sur le flanc et même
sur les quatre roues. On reconnaît quelques modèles,
Mercédes , Gs camargue !, Rolls, Alfa Roméo ainsi
qu’une Morgan…
Bien qu’affublées d’un faible kilométrage,
elles ont vécues et bien vécues entre les mains des
enfants. Collision en tous sens, sorties de route, tonneau
etc, rien ne leurs fût épargnés. Nombreuses sont celles qui
ne survivront pas. Victime d’un engouement passager
on les retrouve en nombre sur les trottoirs lors des
réderies. Elles ne suscitent pas l’attention des
adultes collectionneurs des mythiques Dinky Toys. Il y a
peu d’espoir qu’elles rentrent de nouveau dans
la danse.
Elles ont bourlinguées, pour un court instant, sur les
routes immobiles de l’enfance loin de la Nationale 7
ou de la "road 66".
http://www.gouy-lhopital.com/gombart/page71/page214/page214.html
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ALICE DANS LA VILLE, Wim WENDERS
Une belle photo. Elle est tellement vide.
Ressorti des classeurs,
une pellicule argentique noir et blanc sur le film Alice
dans la ville de Wenders. Le cœur du projet ,une
image et un sous titre ! l’image montre une main
qui tient un polaroid avec une aile d’avion dans le
ciel, pour le sous titre on peut lire :
c’est une
belle image, elle est tellement
vide. Choc,
intense, une vraie interrogation. D’ou le besoin de
chercher dans le film les éléments de réflexion sur la
photographie.
Par la même occasion c’est aussi le bon moment pour
redécouvrir le livre de Wenders Written in the West paru
aux éditions Schirmer/Mosel en 1987
Film
décisif, Alice dans les villes donnera naissance à une
trilogie du voyage – il en constitue le premier volet
et sera suivi par Faux mouvement et Au fil du temps. Wim
Wenders incarnera alors le renouveau du cinéma allemand, au
même titre que Werner Herzog et Rainer W. Fassbinder.
http://www.gouy-lhopital.com/gombart/page71/page216/page216.html
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RAINY DAY
Dans la
nuit froide de décembre, le long d’un bras de la
rivière, les réverbères guettent et ils s’ennuient.
Rien ne bouge, tout est calme. La pluie, humide et glacée
tombe comme par habitude, les pierres et les briques
deviennent luisantes. Les lumières s’amusent à se
regarder dans l’eau, elles jouent à la lune,
c’est simple c’est un peu comme un concours de
grimaces, il faut ressembler le plus possible à
l’astre nocturne et blafard par ces lumières froides
et bleues. La pluie paresseuse cherche à troubler le jeu,
distraitement…sous les toits un chien assis, fenêtre
ouverte laisse s’échapper les notes bluesy de
« rainy day », Hendrix monte vers les
étoiles.
http://www.gouy-lhopital.com/gombart/page71/page220/page220.html
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WHITE WALLS
Dans
certaines chapelles, la décoration colorée se concentre
dans le chœur, ailleurs des niches abritant des
statues illuminent des surfaces monochromes . Ailleurs les
murs qui furent blancs semblent sans âmes. La lumière qui
fuse à travers les vitraux se charge d’apporter une
ambiance, des rythmes…cela évoque le subtil travail
photographique autour de l’église Saint-François de
Taos par Ansel Adams mais aussi Edward Weston ou Georgia
O’Keeffe…
http://www.gouy-lhopital.com/gombart/page71/page226/page226.html
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CARRELAGE PSYCHEDELIQUE ET RELIGIEUX
Au
cœur du Boulonnais, surplombant le village, une
énorme église regarde passer le temps. Rien ne bouge,
parfois un 4x4 trouble la quiétude du bourg. Deux monuments
aux morts se font face de chaque coté de la route,
immobiles, un pour 1870 et quelques guerres coloniales,
l’autre pour 14-18. A l’intérieur de
l’église c’est le vide qui impressionne. Les
vitraux énormes n’arrivent pas à réchauffer les murs
blancs et froids. Dans ce no man’s land, on ne le
découvre que tardivement, le sol offre un peu de réconfort.
Loin des dalles grises et lugubres des anciennes pierres
tombales, on pense d’avantage à un sol de maison. Des
pierres étonnantes aux couleurs vives rouges et jaunes,
avec des décors psychédéliques surprenants, apportent un
peu de chaleur. Rien n’indique la provenance de ces
pierres, peut-être une carrière du coin oublié depuis
longtemps. Cela n’est pas sans évoqué les pierres que
l’on peut voir dans le
Petrified Forest National Park en
Arizona. Les arbres momifiés par le sable, offre des
dessins magnifiques dés lors que l’on découpe des
tranches. On voit surgir des paysages abstraits de toute
beauté. En voici quelques exemples lumineux et chatoyants
usés par les pas des pèlerins.
http://www.gouy-lhopital.com/gombart/page71/page268/page268.html
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Quelque part en Picardie, une usine de teinture. La vie est
âpre, le combat épuisant contre la concurrence des pays
émergeant. A noter le cynisme du vocabulaire, on est passé
des colonies, au tiers monde et de là aux pays émergeant,la
prochaine étape étant un peu difficile à penser... Du coup,
toute la force de survie se concentre sur la production, le
décor lui est oublié depuis bien longtemps. Il révèle la
dureté du combat...
http://www.gouy-lhopital.com/gombart/page71/page271/page271.html
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Vagues, hommage à la vague d'Hokusai
http://www.gouy-lhopital.com/gombart/page71/page272/page272.html
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NAKED? NAKED !
Les peintures sur les réderies sont
bien souvent maltraitées. Elles gisent à même le sol pour
les moins fortunées ou bien en appui sur un objet
quelconque ; seules quelque unes bénéficient
d’un fauteuil ou d’un buffet . On trouve tous
les styles, tous les thèmes et toutes les techniques. Les
peintres sont plus ou moins inspirés et ceux qui ont peu ou
pas de technique compensent par l’enthousiasme !
Le nu féminin reste une valeur sure, le nu alangui arrive
largement en tête, mais des peintres trouvent des approches
beaucoup plus originales. Cette série offre une sorte de
carottage instinctif en oubliant quand même les plus
calamiteuses !
http://www.gouy-lhopital.com/gombart/page71/page71.html
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JARDINS SOUS LA PLUIE...
http://www.gouy-lhopital.com/gombart/page71/page280/page280.html
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IMPROBABLES PAYSAGES DE TISSU, HOMMAGE A LAURE A.G.
Un Rideau,un matin gris, un contre-jour et un faux pli !
http://www.gouy-lhopital.com/gombart/page71/page281/page281.html
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MERVEILLEUX
NUAGES!
Un
poème de toujours, et des nuages d'un jour de juillet un
peu agité…
http://www.gouy-lhopital.com/gombart/page71/page283/page283.html
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RUNNING
LIGHT ON THE WALL...
Exposition
collective, un moment de douce solitude entre les
visiteurs, dehors le soleil poursuit sa course dans le
ciel, à l'intérieur les murs deviennent des écrans
furtifs...
http://www.gouy-lhopital.com/gombart/page71/page285/page285.html