SERIES

Cette rubrique présente des photos qu'il me semble intéressant de décliner par petites séries.C'est l'occasion de voir comment elles s' enrichissent et se complètent. Un peu comme des motifs, chaque photographies apporte sa touche et en même temps enrichit celle qui précède et celle qui suit. Chaque série constitue une entité.

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0125

Photographies prises dans une usine désaffectée. Les carreaux de verre ont été la cible de quelques personnes faisant preuve d'une adresse destructrice et peut-être créatrice " à l'insu de leur plein gré".

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B10

Série constituée par des bombes de peinture lâchement abandonnées après avoir contribuer a mettre de la couleurs sur nos murs tristes. Il n'y a plus de morale, qu'en est-il de la relation charnelle entre l'artisan ou l'artiste et son outil. Tout fout le camp...

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160

Tout le long de la route, des arbres murés dans l'ennui, s'enfoncent dans la nuit de l'hiver. Quelques feuilles résistent comme des oripeaux désemparés d'une splendeur passée.

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032

Lorsque l'on visite une exposition,parmi les plaisirs il y en a un que l'on oublie toujours. On part souvent avec des idées assez claires de ce que l'on va voir pour un tas de raisons, des informations que l'on a consultées, celles que l'on a entendues dans les médias, nos propres souvenirs etc...Dans le cas de l'exposition Picasso c'est encore plus délicat de ne pas arriver avec pleins d'images en tête. Et puis par chance, le petit miracle se produit. Il s'agit du tableau "Fernande à la mantille noire", parmi tout les chefs d'oeuvres c'est le moins attendu et pourtant c'est lui le coup de coeur, celui que je suis revenu voir plusieurs fois.

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M27

Série réalisée tout à fait par hasard lors d'un moment d'attente. Plus tard lorsque revient sur les photos, alors des références apparaissent. Elles peuvent être écrasantes comme ici,si l'on se souvient des films magnifiques de Kurosawa "Ran" et "Kagemusha" où les kakemonos rouge sang claquent sur les champs de bataille. Et pour l'épure et les nuances de noir Soulages semble incontournable. Bref il vaut mieux photographier au feeling car sinon la pression du doigt sur le déclencheur peut s'avérer difficile!

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0303

Voici quelques photos réalisées dans une entreprise textile. Elles étaient destinées à un beau projet qu'i n'a pu aboutir...Dommage.

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Rencontres dans l’ombre et la lumière.Rien de psychologique, juste deux présences, l’une sur scène, l’autre non, la première sous les projecteurs, la seconde en lumière d’ambiance. Juste deux visages qui s’imposent dans la foule des spectacles du Nombril du monde à Pougne-Hérisson. Deux empreintes fortes, des expressions remplies d’émotions.

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L’action se passe sur une réderie par une journée pluvieuse. Après qu’il eut trouvé sur un stand un jeu de cartes fripon des années 60, le petit Poucet un peu cochon, enveloppé dans un grand imperméable, le mis dans sa besace pour le contempler tranquillement plus tard. Le vice étant mal récompensé, les cartes,comme les petits cailloux du conte, s’échappèrent une à une par un trou dans le fond du sac.. La dernière carte retrouvée ne donna aucune indication sur la suite de cette « walk on the wild side » …On ne sut jamais s’il se rendit compte de la disparition de ces images et qu’il n’osa pas faire marche arrière pour les récupérer ou s’il eut la mauvaise surprise en arrivant chez lui, en poussant un immense Damned ! de désespoir.
Cette série reproduit quelques- uns de ces cailloux.

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a0034

Cette série repose sur la déclinaison d’un geste devenu banal dans notre quotidien. Les photos ont été réalisées sur une durée d’une heure et une minute, entre 16h 27 et 17h28 dans une rue piétonne. Cet échantillon, on pourrait presque parler de carottage, permet de faire un lien avec le même geste lui très ancien que vous découvrirez à la fin de la série…

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S4231

En marge de la cité, des jardins ouvriers à l'abandon,la végétation sauvage reprend ses droits et des sauvages par bêtise vandalisent ces cabanes...on n'y entend plus pousser les carottes,il ne restent de ce passé glorieux que le chant des oiseaux et le souffle du vent....

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0065p

Expédition au Salon de l'Agriculture, il faut beaucoup d'imagination pour essayer de retrouver "le bon vieux temps des vrais paysans"...Un peu triste.Sauf qu'il reste un endroit magique,la ferme avec les vaches, toutes belles avec des robes magnifiques.

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0071

Ils sont tous là échoués, groggy, sonnés, abandonnés après avoir tinté dans toutes les tonalités, irradié avec toutes les couleurs, testé tous les alcools…
Seuls, ils sont échoués sur le flanc, sous des tissus improbables ou des journaux jaunis, loin des nappes chamarrées d’antan. On dirait des poissons qui ont sauté de l’aquarium en perdant instantanément toute brillance, tout reflet.
Ils sont là, immobiles à se remémorer les anciens souvenirs du temps où ils étaient au cœur des échanges amoureux, des orages des repas de famille ou du brouhaha foutraque des soirées étudiantes. Combien de personnes se sont raccroché a eux comme à des bouées de sauvetage, témoin muets de leur naufrage amoureux , de leur angoisse, mais aussi de leur plaisir, de leur désir, de leur bonheur…
Ils regardent passer les « redeux » le cou en avant, la tête basse et rêvent de crier à la vôtre !

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0025s

En bordure d’une départementale, dans le Perche, prés d’une ferme à l’abandon, se trouve un étrange cimetière. Ici point de feux follets, de fantômes, non juste des machines agricoles hors d’âge qui agonisent lentement sous les coups de boutoir de la pluie, du vent de la neige… et parfois des gamins en quête de proies faciles pour se défouler…Les vitres éclatent, la peinture s ‘écaille, la rouille unifie les couleurs, l’ensemble se minéralise…

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079s

Cette série est le résultat de plusieurs divagations sur les petites routes de la Somme. L’exode rural conjugué avec la pauvreté d’une partie de nos campagnes offrent des décors usagés, témoins désabusés d’une vie rurale qui fut riche et vivante. Dans un silence assourdissant ces maisons s’enfoncent dans le néant...Eugène Ionesco, avec un trait d’humour très noir nous offre un bref sourire dans ce naufrage social et patrimonial.

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47p


HOMMAGE A KRAFTWERK
Fin de journée en été, la chaleur est étouffante, le goudron encore à vif reste visqueux. Les ouvriers viennent de quitter le chantier, les habits souillés et humides collés sur la peau. Les moteurs ont cessés de tourner mais ils ne refroidissent pas, à l’intérieur l’huile est brûlante. Tout redevient calme, plus de voix, plus d’interpellations, plus d’engins plus de sirène stridente pour signaler une marche arrière. La route est coupée. Au milieu, des balises rouge et blanche maculées de goudron dessinent une frontière imaginaire. Le soleil couchant envoie sa lumière rougeoyante en contrejour et amplifie l’effet de chaleur. Le contraste violent entre les couleurs saturées des balises et l’aspect brut et sombre des sols, emporte l’imaginaire vers les rivages fantasmés des terres tropicales. Ou bien au cœur des ghettos noirs des mégalopoles américaines avec l’ambiance chaude dans tous les sens du terme, des clubs de Funk, qui toute la nuit électrisaient les corps en sueur. Ces derniers doivent bouger sans cesse sur les rythmes excitants d’Afrika Bambaataa, mélanges diaboliques de rap et de samples de Kraftwerk, sous peine de retomber dans la dure réalité. Ce n’est certainement pas un hasard si le club symbolique s’appellait le « Paradisio »

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m032p

Surprenantes, étonnantes toutes ces femmes étirées, en longueur, le corps longiligne tout en tension, qui repose sur leurs socles. Elles évoquent ces femmes « garçonne » de la fin des années vingt, qui assument pleinement leur vie libre de toutes contraintes et de tout tabous. La pratique du sport est un moyen d’affirmer la liberté des corps. Quelques unes, plus rondes, plus lascives s’abandonnent… on est dans le rayon luxe, calme et voluptés. Je me souviens qu’enfant dans mon village il n’étais pas rare de voir des statues de plâtre qui prenaient la poussière sur des buffets sans éclats. Mais il faut bien avouer que loin des amazones sportives ou des femmes alanguies, ces statues représentaient bien souvent des bergers allemands  ou autres bestioles ! Difficile dés lors de s’intéresser à la sculpture.

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D9723ap

Oubliés dans un coin du jardin, ces fleurs s’enfoncent doucement dans la nuit de l’hiver. Pour cela elles ont déjà perdu leurs pétales depuis longtemps et leurs couleurs s’étiolent lentement au gré des intempéries… l’occasion de rendre un hommage à Karl Blossfeldt et de partager avec lui que la nature est belle, il suffit de la regarder !

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0481p

Dans un petit village de l'Oise, d'étranges images explosent l'écran Tv noir et blanc. Un souffle violent de vie brise l'univers aseptisé de la censure gaulliste...

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5947p

Oubliées depuis de nombreuses années dans un sac plastique décrépi, au fond du garage , par hasard, elles reviennent à la lumière. Rien de particulier, elles n’ont aucune valeur ni marchande ni affective. Le plus simple c’est de renverser le sac sur la table pour voir apparaître en vrac toutes ces petites voitures. Pour le moins c’est très hétéroclite, visiblement ce choix de modèle ne correspond à aucune volonté particulière. Elles sont dans tous les sens, sur le dos, sur le flanc et même sur les quatre roues. On reconnaît quelques modèles, Mercédes , Gs camargue !, Rolls, Alfa Roméo ainsi qu’une Morgan…
Bien qu’affublées d’un faible kilométrage, elles ont vécues et bien vécues entre les mains des enfants. Collision en tous sens, sorties de route, tonneau etc, rien ne leurs fût épargnés. Nombreuses sont celles qui ne survivront pas. Victime d’un engouement passager on les retrouve en nombre sur les trottoirs lors des réderies. Elles ne suscitent pas l’attention des adultes collectionneurs des mythiques Dinky Toys. Il y a peu d’espoir qu’elles rentrent de nouveau dans la danse.
Elles ont bourlinguées, pour un court instant, sur les routes immobiles de l’enfance loin de la Nationale 7 ou de la "road 66".

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ALICE DANS LA VILLE, Wim WENDERS


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Une belle photo. Elle est tellement vide.

Ressorti des classeurs, une pellicule argentique noir et blanc sur le film Alice dans la ville de Wenders. Le cœur du projet ,une image et un sous titre ! l’image montre une main qui tient un polaroid avec une aile d’avion dans le ciel, pour le sous titre on peut lire : c’est une belle image, elle est tellement vide. Choc, intense, une vraie interrogation. D’ou le besoin de chercher dans le film les éléments de réflexion sur la photographie.
Par la même occasion c’est aussi le bon moment pour redécouvrir le livre de Wenders Written in the West paru aux éditions Schirmer/Mosel en 1987

Film décisif, Alice dans les villes donnera naissance à une trilogie du voyage – il en constitue le premier volet et sera suivi par Faux mouvement et Au fil du temps. Wim Wenders incarnera alors le renouveau du cinéma allemand, au même titre que Werner Herzog et Rainer W. Fassbinder.



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RAINY DAY

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Dans la nuit froide de décembre, le long d’un bras de la rivière, les réverbères guettent et ils s’ennuient. Rien ne bouge, tout est calme. La pluie, humide et glacée tombe comme par habitude, les pierres et les briques deviennent luisantes. Les lumières s’amusent à se regarder dans l’eau, elles jouent à la lune, c’est simple c’est un peu comme un concours de grimaces, il faut ressembler le plus possible à l’astre nocturne et blafard par ces lumières froides et bleues. La pluie paresseuse cherche à troubler le jeu, distraitement…sous les toits un chien assis, fenêtre ouverte laisse s’échapper les notes bluesy de « rainy day », Hendrix monte vers les étoiles.


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WHITE WALLS

Dans certaines chapelles, la décoration colorée se concentre dans le chœur, ailleurs des niches abritant des statues illuminent des surfaces monochromes . Ailleurs les murs qui furent blancs semblent sans âmes. La lumière qui fuse à travers les vitraux se charge d’apporter une ambiance, des rythmes…cela évoque le subtil travail photographique autour de l’église Saint-François de Taos par Ansel Adams mais aussi Edward Weston ou Georgia O’Keeffe…

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CARRELAGE PSYCHEDELIQUE ET RELIGIEUX

Au cœur du Boulonnais, surplombant le village, une énorme église regarde passer le temps. Rien ne bouge, parfois un 4x4 trouble la quiétude du bourg. Deux monuments aux morts se font face de chaque coté de la route, immobiles, un pour 1870 et quelques guerres coloniales, l’autre pour 14-18. A l’intérieur de l’église c’est le vide qui impressionne. Les vitraux énormes n’arrivent pas à réchauffer les murs blancs et froids. Dans ce no man’s land, on ne le découvre que tardivement, le sol offre un peu de réconfort. Loin des dalles grises et lugubres des anciennes pierres tombales, on pense d’avantage à un sol de maison. Des pierres étonnantes aux couleurs vives rouges et jaunes, avec des décors psychédéliques surprenants, apportent un peu de chaleur. Rien n’indique la provenance de ces pierres, peut-être une carrière du coin oublié depuis longtemps. Cela n’est pas sans évoqué les pierres que l’on peut voir dans le Petrified Forest National Park en Arizona. Les arbres momifiés par le sable, offre des dessins magnifiques dés lors que l’on découpe des tranches. On voit surgir des paysages abstraits de toute beauté. En voici quelques exemples lumineux et chatoyants usés par les pas des pèlerins.


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Quelque part en Picardie, une usine de teinture. La vie est âpre, le combat épuisant contre la concurrence des pays émergeant. A noter le cynisme du vocabulaire, on est passé des colonies, au tiers monde et de là aux pays émergeant,la prochaine étape étant un peu difficile à penser... Du coup, toute la force de survie se concentre sur la production, le décor lui est oublié depuis bien longtemps. Il révèle la dureté du combat...

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Vagues, hommage à la vague d'Hokusai

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NAKED? NAKED !
Les peintures sur les réderies sont bien souvent maltraitées. Elles gisent à même le sol pour les moins fortunées ou bien en appui sur un objet quelconque ; seules quelque unes bénéficient d’un fauteuil ou d’un buffet . On trouve tous les styles, tous les thèmes et toutes les techniques. Les peintres sont plus ou moins inspirés et ceux qui ont peu ou pas de technique compensent par l’enthousiasme ! Le nu féminin reste une valeur sure, le nu alangui arrive largement en tête, mais des peintres trouvent des approches beaucoup plus originales. Cette série offre une sorte de carottage instinctif en oubliant quand même les plus calamiteuses !

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JARDINS SOUS LA PLUIE...

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IMPROBABLES PAYSAGES DE TISSU, HOMMAGE A LAURE A.G.

Un Rideau,un matin gris, un contre-jour et un faux pli !




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MERVEILLEUX NUAGES!

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Un poème de toujours, et des nuages d'un jour de juillet un peu agité…

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RUNNING LIGHT ON THE WALL...

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Exposition collective, un moment de douce solitude entre les visiteurs, dehors le soleil poursuit sa course dans le ciel, à l'intérieur les murs deviennent des écrans furtifs...

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