Du soleil, du vent, en avant !
04/06/08 22:45
Aujourd'hui il faut s'organiser pour tout faire.
Lever tôt pour assurer le boulot et avoir terminé
pour midi, la pleine mer est à 13 heures 20, donc le
mieux c'est de pratiquer le fameux principe du
rétro-planing. Si on veut se faire une petite sortie,
il faut être au port au plus tard à 13 heures 30.
Donc : lever 6 heures, arrivée au boulot à 7 heures 20. Départ à midi, récupération de la roue crevée au garage et arrivée à Gouy à 12 heures 40. Capitaine Tom est prêt, les sandwichs aussi (merci Carole), on roule tranquille jusqu'au port. A 13 heures 30 on est sur le bateau, on appareille à 13 heures 40. Un bon petit vent nous accueille, nous le recevons en pleine face donc : moteur, Tom barre depuis la sortie du port. Une fois sortie, le vent de face, contraire à la marée nous fait profiter d'un bon clapot, le passage dans le chenal est assez sportif, ça secoue mais la Super Dorade s'accroche et on se retrouve en eaux plus calme ce qui me permet d'envoyer le génois et de dérouler une bonne moitié de la grand voile, on coupe et relève le moteur, ça file, c'est super. Un bon coup de vent arrache la casquette du capitaine-barreur qui s'éloigne sur les flots, adieu... Après un long bord au milieu de la baie, le capitaine décide de faire demi tour et nous rentrons tranquillement au portant, nous reprenons un bon coup de secousse dans le chenal et accostons sans encombre à 16 heures.
Nous filons en ville pour acheter une épuisette à crevette, la précédente nous ayant quitté malencontreusement pour vivre sa vie.
Notre copain de web Jérôme Guyot nous a donné l'envie de pratiquer la pêche à pied.
Donc nous partons pour Ault réputé pour ses moules et coquillages. Là, on s'éclate, on ramasse des moules et des bigorneaux en pagaille. Mais , renseignement pris, rien n'assure que ces coquillages soient consommables sans danger, dommage, nous n'osons pas courir ce genre de risque. Par contre, nous avons eu de bonnes infos sur les lieux où l'on peut ramasser des moules de bonne qualité. C'est pour la prochaine sortie...
Néanmoins, la plaisir du ramassage est là, et on en a bien profité.

Donc : lever 6 heures, arrivée au boulot à 7 heures 20. Départ à midi, récupération de la roue crevée au garage et arrivée à Gouy à 12 heures 40. Capitaine Tom est prêt, les sandwichs aussi (merci Carole), on roule tranquille jusqu'au port. A 13 heures 30 on est sur le bateau, on appareille à 13 heures 40. Un bon petit vent nous accueille, nous le recevons en pleine face donc : moteur, Tom barre depuis la sortie du port. Une fois sortie, le vent de face, contraire à la marée nous fait profiter d'un bon clapot, le passage dans le chenal est assez sportif, ça secoue mais la Super Dorade s'accroche et on se retrouve en eaux plus calme ce qui me permet d'envoyer le génois et de dérouler une bonne moitié de la grand voile, on coupe et relève le moteur, ça file, c'est super. Un bon coup de vent arrache la casquette du capitaine-barreur qui s'éloigne sur les flots, adieu... Après un long bord au milieu de la baie, le capitaine décide de faire demi tour et nous rentrons tranquillement au portant, nous reprenons un bon coup de secousse dans le chenal et accostons sans encombre à 16 heures.
Nous filons en ville pour acheter une épuisette à crevette, la précédente nous ayant quitté malencontreusement pour vivre sa vie.
Notre copain de web Jérôme Guyot nous a donné l'envie de pratiquer la pêche à pied.

Donc nous partons pour Ault réputé pour ses moules et coquillages. Là, on s'éclate, on ramasse des moules et des bigorneaux en pagaille. Mais , renseignement pris, rien n'assure que ces coquillages soient consommables sans danger, dommage, nous n'osons pas courir ce genre de risque. Par contre, nous avons eu de bonnes infos sur les lieux où l'on peut ramasser des moules de bonne qualité. C'est pour la prochaine sortie...
Néanmoins, la plaisir du ramassage est là, et on en a bien profité.
