Plein soleil mais...
30/08/08 14:20
Mais il nous reste encore beaucoup à apprendre.
Tout d'abord, le vent d'Est ici a mauvaise réputation, surtout par fort coefficient de marée ce qui est le cas aujourd'hui. En effet il souffle face à la montée des eaux ce qui entraîne des perturbations assez importantes dans le chenal, on assiste à un véritable combat entre la marée qui monte et le vent qui y va de son mieux pour contrer cette remontée ; mais je pense qu'en s'appliquant il est vraiment possible de s'en sortir sauf qu'aujourd'hui il y a un facteur de perturbation supplémentaire : c'est le dernier week-end des vacances, et les prévisions météo sont au top pour ce samedi, donc il y a un monde dingue dans les starting-bock et en particulier une foule de bateaux à moteurs qui s'élancent plein gaz. Alors là notre super Dorade est comparable à une coquille de noix et encore pas une grosse, nous sommes chahutés de tous les côtés chaque fois qu'un hors bord nous double. L'équipage féminin n'apprécie pas du tout ce rodéo d'autant que le vent s'y met. Seul le capitaine des pirates, dans la cabine avant est stoïque et ne se rend compte de rien, en fait il est plongé dans "Pirates des caraïbes II" qu'il regarde sur l'ordi.. Après une heure de chahut, nous décidons de rentrer, roulons le génois et regagnons le port. accostage difficile avec ce vent qui nous empêche de remettre le bateau dans le bon sens, nous accostons donc en marche arrière avec l'aide de Jean-Louis et Pascal. L'équipage est affamé, nous mangeons et nous avons à peine terminé que nos copains Jean-Louis et Pascal nous invite sur le catamaran de Pascal pour un bon apéro. Le cata est impressionnant, ça nous paraît immense et ça l'est, trois rhums une bonne rigolade plus tard, nous regagnons la Super-Dorade qui elle est restée sobre, merci.
Il faut agir, nous prenons les vélos qui nous attendaient dans la voiture et remontons le canal par le chemin de halage jusqu'à "Petit Port" où nous buvons un coup dans ce fantastique café ("au repos des pêcheurs") qui, à lui seul, mérite un reportage (promis c'est pour la prochaine fois).
Retour à Saint Valery ( total 19 km sur le compteur du capitaine).
On est cuit, on mange sur le bateau et on s'endort chacun dans ses rêves.
Le matin, petit déjeuner avec la nouvelle table, un vrai régal...
Tout d'abord, le vent d'Est ici a mauvaise réputation, surtout par fort coefficient de marée ce qui est le cas aujourd'hui. En effet il souffle face à la montée des eaux ce qui entraîne des perturbations assez importantes dans le chenal, on assiste à un véritable combat entre la marée qui monte et le vent qui y va de son mieux pour contrer cette remontée ; mais je pense qu'en s'appliquant il est vraiment possible de s'en sortir sauf qu'aujourd'hui il y a un facteur de perturbation supplémentaire : c'est le dernier week-end des vacances, et les prévisions météo sont au top pour ce samedi, donc il y a un monde dingue dans les starting-bock et en particulier une foule de bateaux à moteurs qui s'élancent plein gaz. Alors là notre super Dorade est comparable à une coquille de noix et encore pas une grosse, nous sommes chahutés de tous les côtés chaque fois qu'un hors bord nous double. L'équipage féminin n'apprécie pas du tout ce rodéo d'autant que le vent s'y met. Seul le capitaine des pirates, dans la cabine avant est stoïque et ne se rend compte de rien, en fait il est plongé dans "Pirates des caraïbes II" qu'il regarde sur l'ordi.. Après une heure de chahut, nous décidons de rentrer, roulons le génois et regagnons le port. accostage difficile avec ce vent qui nous empêche de remettre le bateau dans le bon sens, nous accostons donc en marche arrière avec l'aide de Jean-Louis et Pascal. L'équipage est affamé, nous mangeons et nous avons à peine terminé que nos copains Jean-Louis et Pascal nous invite sur le catamaran de Pascal pour un bon apéro. Le cata est impressionnant, ça nous paraît immense et ça l'est, trois rhums une bonne rigolade plus tard, nous regagnons la Super-Dorade qui elle est restée sobre, merci.
Il faut agir, nous prenons les vélos qui nous attendaient dans la voiture et remontons le canal par le chemin de halage jusqu'à "Petit Port" où nous buvons un coup dans ce fantastique café ("au repos des pêcheurs") qui, à lui seul, mérite un reportage (promis c'est pour la prochaine fois).
Retour à Saint Valery ( total 19 km sur le compteur du capitaine).
On est cuit, on mange sur le bateau et on s'endort chacun dans ses rêves.
Le matin, petit déjeuner avec la nouvelle table, un vrai régal...
Les mieux vus ont le café au lit...