Tous en grève...Sarko menteur, tu tues les pêcheurs
21/05/08 22:38
En grève,
Les marins pêcheurs sont en grève et on les comprend, entre le prix du gazole, la concurrence des poissons d'élevage et les conditions de travail, il y a de quoi se demander pourquoi on bosse d'autant plus que c'est pas vraiment un travail de tout repos. Et ne pas se sentir soutenu alors qu'on travaille pour nourrir les populations, il ne faut peut être pas s'étonner que ça barde. Tom et moi on n'est pas le genre "casseur de grève", même si ce bel après midi de mai, on aurait bien aimé se faire une petite sortie. C'est pas grave il y a de quoi faire à bord. Tom décide de nettoyer à fond le cockpit, en fait ce qui l'intéresse surtout c'est d'aller chercher de l'eau avec son seau au robinet sur le quai, le gros intérêt étant de passer du bateau au quai et réciproquement, avec le seau. Pendant ce temps, je passe l'intégralité des bois extérieurs à l'huile de teck. Résultat garanti.
Aujourd'hui le port de plaisance est en pleine réorganisation des places et nous bougeons la super Dorade d'un mètre cinquante sur son ponton afin qu'aucune place ne soit perdue.
A 16 heures, nous décidons de partir sur la plage du Hourdel et abandonnons le bateau.
Un véritable plaisir nous attendait, les pieds dans l'eau, une plage déserte, une luminosité extraordinaire. Avec Tom nous courrons comme des fous avant d'attaquer la construction d'un château fort et d'un barrage. Déjà il est 6 heures et nous nous hâtons de regagner la voiture.
Consolation : un arrêt chez Jérôme, l'estomac en dessous des talons, pour un ravitaillement en grillades et melon. A la maison nous retrouvons Carole qui rentre du boulot et la journée se termine par un barbecue façon vacances. Vive la Picardie ! Je crois qu'ici on râle autant qu'on a de plaisir, c'est peut être ça la vraie force du coin.
Les marins pêcheurs sont en grève et on les comprend, entre le prix du gazole, la concurrence des poissons d'élevage et les conditions de travail, il y a de quoi se demander pourquoi on bosse d'autant plus que c'est pas vraiment un travail de tout repos. Et ne pas se sentir soutenu alors qu'on travaille pour nourrir les populations, il ne faut peut être pas s'étonner que ça barde. Tom et moi on n'est pas le genre "casseur de grève", même si ce bel après midi de mai, on aurait bien aimé se faire une petite sortie. C'est pas grave il y a de quoi faire à bord. Tom décide de nettoyer à fond le cockpit, en fait ce qui l'intéresse surtout c'est d'aller chercher de l'eau avec son seau au robinet sur le quai, le gros intérêt étant de passer du bateau au quai et réciproquement, avec le seau. Pendant ce temps, je passe l'intégralité des bois extérieurs à l'huile de teck. Résultat garanti.
Aujourd'hui le port de plaisance est en pleine réorganisation des places et nous bougeons la super Dorade d'un mètre cinquante sur son ponton afin qu'aucune place ne soit perdue.
A 16 heures, nous décidons de partir sur la plage du Hourdel et abandonnons le bateau.
Un véritable plaisir nous attendait, les pieds dans l'eau, une plage déserte, une luminosité extraordinaire. Avec Tom nous courrons comme des fous avant d'attaquer la construction d'un château fort et d'un barrage. Déjà il est 6 heures et nous nous hâtons de regagner la voiture.
Consolation : un arrêt chez Jérôme, l'estomac en dessous des talons, pour un ravitaillement en grillades et melon. A la maison nous retrouvons Carole qui rentre du boulot et la journée se termine par un barbecue façon vacances. Vive la Picardie ! Je crois qu'ici on râle autant qu'on a de plaisir, c'est peut être ça la vraie force du coin.