Grand beau temps et sortie de rêve
27/04/08 21:15
Samedi, tout semble se combiner à merveille pour une
après-midi de rêve :
- grand soleil
- pleine mer à 16 h 20
- petit vent de sud-sud-est (assez rare pour la région)
- équipage au complet.
Nous appareillons à 15 heures 30 sorite du port sans problème, assez rapidement je passe la barre à Tom et déroule le genois, nous sommes vent arrière, le soleil brille, la baie est merveilleuse.
Je rejoins le pied du mât et déroule la grand voile de la bôme avec la petite manivelle tout en étarquant la drisse, la grand voile se hisse sans difficulté, nous coupons et relevons le moteur, le foc est bordé à contre la Super Dorade prend sa vitesse et rapidement, sans presque s'en rendre compte, nous nous retrouvons au centre de la baie, à peu près à distance égale de Saint Valery, du Crotoy et du Hourdel. Marthe va jouer les équipiers et nous nous lançons dans une série de manoeuvres (empanages principalement ) pour garder notre cap, tout va bien, nous "sentons la super Dorade".
C'est une vérité, un bateau est très proche d'un être vivant, il a ses propres réactions même si elles sont liées à notre façon de faire. J'ai arrêté l'équitation il y a maitenant 7 ans (pour des problèmes de dos) et c'est la première fois que je ressens des sensations aussi proches de celles vécues avec ma jument Cheyenne.
Cette possibilité d'équilibre entre l'homme et la nature, j'imagine qu'on peut l'approcher de différentes façons, mais qu'à chaque fois, ce qu'on ressent est la mêmê pleinitude.
Carole nous prépare une boisson chaude nous sommes au grand largue et croisons trois voiliers qui rentrent vers Saint Valery.
Nou nous approchons du Crotoy
Mais il est l'heure de rentrer, l'eau va quitter la baie.
Nous nous lançons alors dans une série de "tirages de bords" , un vrai plaisir... Mais nous nous rendons compte que la dérive de la Super dorade conjuguée à la force du courant font que malgrè l'impréssion de vitesse, nous ne progressons pratiquement pas. Nous optons alors pour un retour tranquille au moteur, Marthe prend la barre, et ne la lachera qu'une fois au port.
Encore un moment de magie quand nous croisons deux phoques totalement indifférents au passage pourtant majestueux d'une des dernières Super Dorades.
Nous accostons facilement, tout est plus simple quand l'équipage est au complet.
seul petit problème, j'ai perdu en route la manivelle de la bôme. J'aurais pas du la laisser au pied du mât...
- grand soleil
- pleine mer à 16 h 20
- petit vent de sud-sud-est (assez rare pour la région)
- équipage au complet.
Nous appareillons à 15 heures 30 sorite du port sans problème, assez rapidement je passe la barre à Tom et déroule le genois, nous sommes vent arrière, le soleil brille, la baie est merveilleuse.

Je rejoins le pied du mât et déroule la grand voile de la bôme avec la petite manivelle tout en étarquant la drisse, la grand voile se hisse sans difficulté, nous coupons et relevons le moteur, le foc est bordé à contre la Super Dorade prend sa vitesse et rapidement, sans presque s'en rendre compte, nous nous retrouvons au centre de la baie, à peu près à distance égale de Saint Valery, du Crotoy et du Hourdel. Marthe va jouer les équipiers et nous nous lançons dans une série de manoeuvres (empanages principalement ) pour garder notre cap, tout va bien, nous "sentons la super Dorade".
C'est une vérité, un bateau est très proche d'un être vivant, il a ses propres réactions même si elles sont liées à notre façon de faire. J'ai arrêté l'équitation il y a maitenant 7 ans (pour des problèmes de dos) et c'est la première fois que je ressens des sensations aussi proches de celles vécues avec ma jument Cheyenne.
Cette possibilité d'équilibre entre l'homme et la nature, j'imagine qu'on peut l'approcher de différentes façons, mais qu'à chaque fois, ce qu'on ressent est la mêmê pleinitude.
Carole nous prépare une boisson chaude nous sommes au grand largue et croisons trois voiliers qui rentrent vers Saint Valery.
Nou nous approchons du Crotoy

Mais il est l'heure de rentrer, l'eau va quitter la baie.
Nous nous lançons alors dans une série de "tirages de bords" , un vrai plaisir... Mais nous nous rendons compte que la dérive de la Super dorade conjuguée à la force du courant font que malgrè l'impréssion de vitesse, nous ne progressons pratiquement pas. Nous optons alors pour un retour tranquille au moteur, Marthe prend la barre, et ne la lachera qu'une fois au port.
Encore un moment de magie quand nous croisons deux phoques totalement indifférents au passage pourtant majestueux d'une des dernières Super Dorades.

Nous accostons facilement, tout est plus simple quand l'équipage est au complet.
seul petit problème, j'ai perdu en route la manivelle de la bôme. J'aurais pas du la laisser au pied du mât...